Le compromis porte sur la base d'une augmentation d'environ 2 % des salaires au 1er janvier 2000, d'un alignement sur la convention collective le 1er juillet et d'une réduction du temps de travail de 199 heures à 195 heures au 1er octobre. L'accord prévoit également une augmentation de 21,6 % à 45 % des primes de départ le week-end. Celles-ci passent de 300 F à 365 F pour les plus élevées et de 100 F à 145 F pour les plus basses. Les heures de grève seront retenues sur les salaires et sur les congés.
« Nous étions déjà pratiquement arrivés à nous entendre sur tous ces points au bout de 48 heures de grève. Celle-ci a duré 10 jours de trop. La direction de RCT reste persuadée que l'entreprise et ses salariés auraient pu faire l'économie d'un tel conflit, car les traditionnelles négociations annuelles ouvertes le 6 octobre laissaient augurer de débats constructifs, déclare aujourd'hui Claude Pannetier, dir
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