Le trafic transalpin sur la sellette

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« Depuis l'arrêt du trafic des poids lourds, après la tragédie du 24 mars 1999, le Mont-Blanc mérite à nouveau son nom » affirme Moritz Leuenberger, vice-président de la Confédération suisse et ministre des Transports, des Communications et de l'Énergie. Une déclaration qui a donné le ton au forum « Tunnel 2 000 », organisé à Genève, les 16 et 17 décembre dernier, par la Fondation pour l'Économie et le Développement durable des Régions d'Europe (FEDRE). Pour le ministre suisse, il ne fait aucun doute que la brume, sous laquelle disparaissaient les cimes du pic alpin, était générée par les 2 000 camions qui déferlaient quotidiennement dans la vallée de Chamonix pour gagner le tunnel du Mont-Blanc. Aussi, la politique helvétique en matière de transport et d'environnement tend plus que jamais à un transfert des marchandises de la route vers le rail. Le gouvernement suisse destinera les deux tiers des recettes provenant de la future redevance poids lourds liée à la prestation (RPLP) au financement des deux tunnels ferroviaires du Lötschberg et du Saint-Gothard.

Un message qu'ont dû apprécier Michel Bouvard, vice-président du conseil général de Savo

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