Les transporteurs ont le vin mauvais

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Délais d'acheminement ultra serrés, risques clients trop élevés, manque de moyens humains et matériels, de nombreux transporteurs routiers ont laissé, cette année, le beaujolais nouveau en carafe. Une situation qui a globalement profité aux spécialistes du transport de vins et spiritueux. État des lieux.

Fin juillet, les Transports Frigorifiques Européens (TFE) ont jeté l'éponge : la filiale du groupe Stef-TFE a décidé de ne plus transporter de beaujolais primeur millésime 2000. « L'an dernier, l'opération beaujolais avait considérablement parasité notre organisation, ce qui a eu pour effet de perturber le service apporté à nos clients. De plus, au regard des moyens engagés, la rentabilité n'était pas satisfaisante », affirme Jean-Pierre Sancier, directeur commercial de TFE. Autre explication : le transporteur a fait le constat de la raréfaction des parcs de traction. « Il est très délicat, en fin d'année et dans le contexte actuel de pénurie en personnels roulants, d'enlever des volumes importants sur une aussi courte période ». Du coup, certains chargeurs ont dû construire en hâte un nouveau plan de transport. Les Établ

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