Les ravages de la fièvre aphteuse

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Des mesures d'urgence, c'est ce que réclament au gouvernement français les transporteurs d'animaux vivants, qui ont vu leur activité chuter de 50 % à 100 % depuis le 5 mars, date à laquelle ont été interdits tous mouvements des espèces de bétail sensibles à la fièvre aphteuse ainsi que leur exportation. Leur survie économique est en jeu. Et d'autres secteurs, comme celui du transport frigorifique, ressentent les premiers symptômes de la crise.

Depuis le 5 mars et jusqu'au 12 avril au moins, la circulation sur le territoire français et l'exportation des animaux des espèces sensibles à la fièvre aphteuse (ovins, bovins, caprins et porcins) sont interdites. Une décision du ministère de l'Agriculture qui condamne les transporteurs de bétail à une inactivité presque totale. Ces entreprises réclament des mesures d'urgence au gouvernement. Elles souhaitent être reconnues comme faisant partie intégrante des filières bovine, ovine et porcine. D'autant qu'elles subissent déjà depuis octobre dernier une perte de chiffre d'affaires de 30 % à 40 % suite à la crise de la vache folle. Elles n'ont obtenu pour l'heure qu'une promesse du gouvernem

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