C’est, d’un côté, le ministre des Transports qui multiplie les rencontres, avec Pierre Blayau, le Pdg de Geodis, et les représentants de la direction et des syndicats de Sernam. C’est encore Thierry Mariani qui s’offre un nouvel aller-retour Paris/Bruxelles pour y plaider le dossier Sernam et annoncer un probable recours de la France suite à la décision de la Commission du 9 mars qui demande à Sernam le remboursement de 642 M€ d’aides illégales perçues entre 2000 et 2006 (L’OT 2635). Et c’est toujours Thierry Mariani qui se prépare à recevoir, le 26 mars, tout ce que le pays compte de structures susceptibles de proposer des reclassements dans l’hypothèse du pire, c’est-à-dire la liquidation judiciaire, si elle venait à être décidée. Autour de la table : les acteurs de la messagerie dont, ironie du sort, ceux qui sont à l’origine de la plainte qui a conduit Bruxelles à condamner Sernam ; Keolis, la filiale de transports urbains de la SNCF et les représentants de La Poste. Last but not least, le ministre des Transports doit recev
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