Michel Mattar : Seayard a déménagé sur le nouveau terminal 2 XL tout en promettant aux transporteurs une amélioration sensible des conditions de manutention. Rien ne s’est passé comme prévu d’autant que six cavaliers ont dû rester sur l’ancien terminal de Seayard car non adaptés à 2 XL. Peu de cavaliers tournent ce qui fait que les transbordements sont privilégiés au détriment des chargements des transporteurs. En parallèle, Seayard a rencontré une série de « bugs » informatiques liés au changement de système d’information réalisé à l’occasion de son transfert sur 2 XL. Avec des conditions sanitaires limites pour les conducteurs et la dangerosité des files d’attente de véhicules, les risques d’accidents sont réels.
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