Une première le 22 mars au centre Aft-Iftim de Rungis (94) : une soixantaine de contrevenants au code de la route – dont une trentaine de conducteurs routiers – ont suivi un stage d’une demi-journée consacré à la sécurité routière. Rien que de très normal jusqu’ici… sauf que les infractionnistes ont ainsi obtenu l’annulation de la sanction qui leur avaient été infligée quelques jours auparavant voire le matin même sur le MIN et ses voies d’accès. Cette opération baptisée « alternative à la sanction » a été mise sur pied conjointement par la préfecture de police de Paris (qui intervient sur les trois départements de la petite couronne) et le groupe de formation qui a mis à disposition ses équipements. Et avec l’aval du tribunal de grande instance de Créteil. « Nous avons conçu cette action à la suite de la signature, l’an dernier, de la charte « Prévention des addictions-Hygiène de vie » à laquelle nous souhaitions donner un caractère concret, explique Françoise Hardy, sous-directeur régional de la circulation et de la sécurité routière à la préfecture de police de Paris. De telles opérations à visée pédagogique
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