Antonio Amaniera : L’idée est venue des délégués FO de Debeaux qui craignaient de nouvelles suppressions d’emplois. Ils ont provoqué une rencontre, fin 2010, avec Alexandre Michel, qui redoutait de nouveaux conflits sociaux chez Debeaux PCB. Le dirigeant a pensé que j’étais l’homme de la situation. Il a estimé que les procédures devant les conseils de prud’hommes cesseraient puisque j’avais la confiance des syndicalistes et du personnel. Mais les 650 000 € provisionnés pour les frais de justice ont été largement sous-estimés. En échange, Transalliance a accordé à Cylog un crédit vendeur (remboursable sur trois ans) et laissé à Debeaux PCB ainsi qu’à Logivrac -en pleine propriété- son parc de bennes et de citernes pulvé. Nous avons réajusté les tarifs en passant des hausses de 2 % jusqu’à 14 %, imposé la surcharge gazole là où elle n’existait pas, et réduit les temps de services chez Debeaux PCB, où toutes les heures sont payées. Afin de répondre a
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