L’alliance atteint ses limites

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Antonio Amaniera reproche à Transalliance de ne pas tenir ses engagements suite à l’achat de ses trois filiales.

Le 1er mars 2011, Alexandre Michel, P-dg du groupe Transalliance, convainc Antonio Amaniera de racheter Cylog, Logivrac et surtout Debeaux PCB (26), fortement déficitaire depuis 2008. L’ex-dirigeant de AA Formation et Conseil connaissait déjà la vie de cette dernière entreprise, puisqu’il avait été mandaté par les élus du C.E. pour analyser les comptes 2009, au siège de Livron (26). Au total, 82 contrats de travail sont repris. Alors que plusieurs différends financiers restent en suspens, Alexandre Michel obtient du même Antonio Amaniera, le 7 novembre 2011, d’intégrer dans Cylog, 37 salariés, « encouragés » à démissionner de chez Debeaux, avec le versement de leur ancienneté. En attendant de se constituer sa propre clientèle, Cylog reçoit alors l’assurance, selon le patron de Tala*, de devenir un sous-traitant quasi exclusif de Transalliance durant la première année avec l’engagement du transporteur lorrain d’apporter un accompagnement financier sur 6 mois. Mais depuis le 9 mai, la tension

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