LE « PULVÉ » FACE À L’ÉCOTAXE ET AU 44 T

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Avec l’écotaxe, la généralisation du 44 t est l’autre gros dossier sur la table du transport pulvérulent. Sur un marché de niche avec 6 500 citernes fixes et basculantes actives en France, la valorisation de l’offre passe par une reconnaissance de ses coûts de revient spécifiques et plus globalement par une refonte des rapports contractuels avec ses clients.

La parution, le 6 mai, au Journal Officiel du décret n° 2012-670 a levé une partie du voile sur la répercussion de l’écotaxe poids lourd dans le transport pulvérulent. Avec des trajets réalisés pour l’essentiel en camions complets pour le compte d’un seul donneur d’ordre, il entre dans le cas de figure le plus « simple » prévu par le texte via une majoration du prix du transport à hauteur de la taxe, qu’elle soit alsacienne ou nationale. Cette clarification ne suffit pas toutefois à supprimer les inquiétudes car « les coûts de gestion et de trésorerie ainsi que les temps induits pour son traitement administratif demeurent à notre charge », remarque Stéphane Lamoureux. Directeur de la Francilienne de Transports et de Service filiale du groupe Prémat, l

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