La parution, le 6 mai, au Journal Officiel du décret n° 2012-670 a levé une partie du voile sur la répercussion de l’écotaxe poids lourd dans le transport pulvérulent. Avec des trajets réalisés pour l’essentiel en camions complets pour le compte d’un seul donneur d’ordre, il entre dans le cas de figure le plus « simple » prévu par le texte via une majoration du prix du transport à hauteur de la taxe, qu’elle soit alsacienne ou nationale. Cette clarification ne suffit pas toutefois à supprimer les inquiétudes car « les coûts de gestion et de trésorerie ainsi que les temps induits pour son traitement administratif demeurent à notre charge », remarque Stéphane Lamoureux. Directeur de la Francilienne de Transports et de Service filiale du groupe Prémat, l
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