CECILIA DIOLEY, dirigeante des Transports Idoux (25)

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Installés entre Besançon et la Suisse, nous effectuons du transport de marchandises générales et dangereuses, parfois des machines-outils, en France ainsi que sur la Suisse au sein du réseau Volupal (groupement Evolutrans, ndlr). Ayant repris l’entreprise en janvier 2012, je reste pessimiste sur la croissance de nos volumes pour l’année à venir. L’écotaxe est un réel casse-tête qui nous gâche l’horizon. Nous ne recevons aucun conseil de l’État, comment dans ces conditions l’expliquer à nos clients ? Ce sont les revendeurs de boîtiers qui fournissent l’information !

Les pouvoirs publics ne se mettent pas d’accord sur la mise en œuvre du système, chacun va devoir « faire sa soupe » avec les formules de calcul. Nous travaillons avec de petites sociétés donc, pour l’instant, elles n’ont pas de questions. Les commissionnaires n’ont que des lots à vendre et pas de véhicules, ils n’ont pas besoin de refacturer. Pendant que nous nous retrouverons avec des lots sur les bourses de fret à des prix très inférieurs à ce que l’on devrait pratiquer. Autre point bloquant pour relancer les investissements et améliorer la rentabilité : les ga

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