L’OT : Quel bilan dressez-vous du transport combiné en France ?
Gérard Perrin : Le manque de volumes pénalise énormément notre activité. Quant à la non-qualité, elle nous porte préjudice à la fois au niveau commercial et en termes de coûts. Les trains arrivent avec 2 ou 3 heures de retard régulièrement. Si vous y ajoutez l’incertitude Novatrans et les interrogations liées à la stratégie de l’opérateur ferroviaire, nous avons vécu une année 2012 assez calamiteuse. Sans compter que, de janvier à mai, le ministère des Transports ne nous a pas aidés. Ni sur la généralisation du 44 t, ni sur le décret organisant la répercussion de l’écotaxe. Dans le gouvernement, le ministre délégué chargé des Transports est placé sous la tutelle du ministère de l’Écologie. En réalité, Frédéric Cuvillier est 32ème ministre sur 34 au total. Son poids au sein du gouvernement n’est pas représentatif des enjeux de la profession.
L’OT : L’assemblée générale du GNTC aura lieu le 16 octobre prochain. Quels messages souhaitez-vous transmettre ?
G. P. : J�
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