Les assemblées générales se suivent et ne se ressemblent pas. Celle du GNTC, la 37e du genre, organisée le 16 octobre à Paris, a planté le décor. Le tableau économique du combiné français en 2012 est plus que contrasté. « L’ouverture du ferroviaire à la concurrence est une réussite pour le combiné, s’est félicité Jean-Claude Brunier, P-dg de l’entreprise T3M (34). Nous avons inventé un modèle qui correspond à la demande du marché ». Certes, les chargeurs font confiance à T3M, laquelle détient 15 % du marché français en 2011. Pour autant, les entreprises françaises, transporteurs routiers et opérateurs privés de combiné (Froid-Combi, CombiWest, BD ? Rail Service, etc.), « patinent » davantage que leurs concurrents européens. En cause : la précarité des sillons attribués par le gestionnaire d’infrastructure Réseau ferré de France (RFF). Sans compter le «
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