Les sucreries françaises ont ouvert huit jours plus tard que l’année dernière, soit le 20 septembre en moyenne. La durée prévisionnelle de la campagne 2012 est, en effet, plus courte : 98 jours contre 112 en 2011. « Même si le marché européen reste stable, les rendements seront moindres compte tenu des coûts de production industrielle et des charges fixes plus élevées », indique Sébastien Audren, directeur adjoint du syndicat betteravier de l’Aisne. Jusqu’à la mi-décembre, 35 millions de tonnes seront transportées par la route, les 25 sucreries françaises étant couvertes par le 44 t agricole. « Les véhicules œuvrent 16 heures par jour en deux postes dans un rayon de moins de 35 kilomètres autour de la sucrerie », explique Jacky Lecanu, président de la commission « bennes grands volumes » à la FNTR.
Responsable des services betteraviers de Tereos, Alain Segaert explique les méthodes tarifaires du sucrier : « Nous analysons les chiffres d’affaires
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