Il faudra, un jour, faire le vrai bilan de la démarche volontaire de réduction des émissions de CO2! Selon le dernier comptage d'octobre, plus de 700 entreprises ont signé la Charte (certaines l'ont même re-signé après un premier exercice de trois ans), validé les objectifs de résultats et obligations de moyens, pour aboutir à une « réserve » potentielle de 550000 tonnes de CO2 non rejetés. La profession du transport routier (avant le transport de voyageurs soumis depuis 2011) peut s’enorgueillir d’avoir adhéré sans barguigner à ce principe de saine gestion couplé à un bienfait environnemental. Le mouvement initié par le ministère en 2008, relayés par l’Ademe et les organisations professionnelles, a donc pris racine. Les impacts favorables à l’environnement, quantifiables à l’aune du CO2, respectent le postulat originel du développement durable. Et, dans notre univers professionnel, la démarche CO2 a donné naissance à des cabinets conseil innovants, à des soutiens pédagogiques inédits ou autres formations nouvelles qui ont accompagné, voire provoqué, la prise de conscience. Faut-il pour autant crier au génie? Pas sûr… Car, malgré ce
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