Il, c’est Philippe Kerloch. Ce syndicaliste de chez Samat a même poussé la motivation jusqu’à écrire à François Hollande et Jean-Marc Ayrault, le président de la Répu blique et le Premier ministre. Sans succès. Il a alors emprunté la voie parlementaire dans le cadre des traditionnelles questions (N° 8254) au gouvernement. C’était le 23 octobre 2012 par la voix de Marie-Odile Bouillé, députée socialiste de Loire Atlantique. Une question adressée à Frédéric Cuvillier, ministre délégué aux Transports : « une demande officielle d’ouverture de négociation au sujet de la reconnaissance de ce métier a été déposée en juin 2009, mais le dossier est au point mort, le précédent gouvernement ayant préféré jouer le statu quo ». La députée demande ainsi au ministre sa position « sur la question d’une reconnaissance spécifique du métier de transport de matières dangereuses et les moyens mis en œuvre pour ouvrir le débat et le dialogue
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