Il y a des lectures qui donnent des palpitations ou de l’urticaire, selon son degré de sensibilité. Ont produit cet effet épidermique deux articles parus le 11 juin, dans Les Échos : le premier sur la taxe carbone annoncée « dès 2014 » (associée à une fiscalité révisée sur le diesel) et le second anglé sur une « vague d’appels d’offres en vue » et de remises en concurrence dans le TRM, dégât collatéral de la mise en place de la taxe PL. Il n’en fallait pas plus pour générer un mouvement général de mauvaises humeurs, charriées par les réseaux sociaux et le web (pour parvenir jusqu’à notre rédaction). Dans l’expectative, des dirigeants d’entreprise ont utilisé ces canaux pour marquer leur désapprobation et faire chorus. L’un d’entre eux, basé en Bourgogne (il se reconnaîtra !), a fait sa liste. Que revendique-t-il ? Sur l’écotaxe : refus d’une quelconque augmentation des barèmes de l’écotaxe sur 2014 avant d’être familiarisé avec le système ; gel du réseau taxé pendant une période de trois ans ; suppression de la taxe à l’essieu ; rejet de voir se développer les demandes de cautions bancaires… Sur la
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