BERTRAND PANCHER : La suspension était malheureusement inévitable. Il faut maintenant se donner du temps pour remettre à plat cette mesure et aboutir à des conditions d’acceptabilité réelles. Seules les discussions avec les parties prenantes pourront le dire.
B. P.: On voit bien que l’agriculture et la pêche sont des professions touchées plus que d’autres. Il s’agit souvent d’activités qui n’ont pas la possibilité de répercuter le montant de la taxe auprès des chargeurs. Il y a une réelle inquiétude parce que les politiques publiques ne sont plus acceptées par nos concitoyens. L’exaspération risque de se traduire par des actes de violence. Le gouvernement serait bien avisé de réintroduire des mesures claires
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