Nous venons d’investir dans l’achat de 44 véhicules MAN Euro 6. Nous avons pris cette décision à la fois pour renouveler notre parc, mais aussi pour réaliser des économies de carburant, estimées à environ 4 litres/100 comparé à des motorisations qui datent de quatre ans. Nous transportons des marchandises générales palettisables, principalement des biens de consommation entre la région Rhône-Alpes, l’Auvergne, la Bourgogne et le Limousin. Le siège est dans la Loire, mais nous sommes également implantés à Cournon d’Auvergne (63). Le tassement de l’activité, aujourd’hui, a atteint un niveau plancher. De nouveaux schémas se dessinent dans le transport. Beaucoup d’acteurs ont disparu ; ceux qui restent en profitent pour prendre des parts de marché, devenu plus sain. Les clients sont plus vigilants sur la pénurie de camions qui se fait sentir. C’est notamment pour cela que j’ai bon espoir de faire passer mes hausses de prix de transport au 1er janvier. Mes clients, environ 1 000 industriels qui ne génèrent pas plus de 5 % de mon chiffre d’affaires chacun, sont plus réceptifs aux négociations que l’an passé. Ils craignent de ne plus pou
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