L’une veut des entrepôts dans des lieux interconnectés, encourager le transport multimodal rail-fleuve et faciliter le stationnement des véhicules de livraisons. L’autre veut des plateformes de proximité, un calendrier pour supprimer les flottes diesel de transport et reproche la destruction de 200 000 m2 de surface d’entrepôts pour seulement 3 000 m2 construits. Anne Hidalgo imagine un transport de marchandises sur le RER la nuit, Nathalie Kosciusko-Morizet n’envisage pas l’utilisation de lignes déjà surchargées le jour. Les candidates à la mairie de Paris ne s‘entendent définitivement pas sur l’avenir de la logistique urbaine dans la capitale. D’ailleurs, lors de la rencontre avec des professionnels de la logistique organisée par Afilog, l’association représentant les métiers du secteur, les deux femmes ont bien évité de se croiser.
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