LES PARTENAIRES SOCIAUX FACE À LA RÉFORME FACE À LA RÉFORME

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Après la loi Macron, la deuxième partie du projet visant à mettre la France sur les rails de la croissance concerne le dialogue social, avec la loi Rebsamen. Débattue depuis le mois d’octobre, la réforme entend moderniser et simplifier les discussions entre les partenaires sociaux. Les fédérations et syndicats du secteur s’interrogent sur le contenu du projet.
UNE RÉFORME NÉCESSAIRE

Début octobre, le gouvernement avait demandé aux organisations patronales (Medef, CGPME, UPA) et syndicales (CGT, CFDT, FO, CFTC, CFE-CGC) de lui proposer une réforme pour notamment « lisser les seuils sociaux » afin d’encourager les employeurs à embaucher. Après quatre mois de discussions, patronat et syndicats ont échoué à trouver un accord. Le ministre du Travail François Rebsamen, opposé à tout « statu quo », a indiqué le 24 janvier que le gouvernement procéderait à la réforme par le biais d’une loi. Le 25 février, le Premier ministre Manuel Valls a présenté aux syndicats et au patronat ses options pour moderniser le dialogue social. Le projet sera présenté fin mars-début avril, puis entrera en débat au Parlement cet été

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