Depuis janvier, je trouve qu’il y a un peu d’activité, après un début d’année au cours duquel nous n’avons pu passer aucune augmentation. D’augmentation, il y a eu surtout celle des salaires. Compte tenu de nos extrêmes réserves vis-à-vis des organisations patronales et syndicales, nous préférons agir à l’échelle de notre société sur le plan social. Nous en récoltons une certaine stabilité. Le moral des chefs d’entreprise clientes ? Cela fait 6-7 ans qu’on est dans la crise et on les sent toujours dans l’expectative. On sait bien que les hommes politiques n’ont que peu d’influence sur la bonne marche de l’économie nationale et que que c’est à l’échelle de l’Europe que l’on trouvera des leviers pour améliorer la conjoncture.
J’observe une évolution dans le comportement des chargeurs vers une demande de main-d’œuvre française y compris dans le transport. Les affréteurs s’y mettent également. Je peste contre ces fourgons de 3,5 t qui polluent et nous pillent. Ils sont incontrôlables par les Dreal. On sait bien qu’ils sont au service des grands groupes français. Notre entreprise s’appuie sur un réseau palettes perfor
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