Le chiffre d’affaires est en stagnation voire en légère baisse. Nous sommes toujours confrontés à des problèmes de volumes d’affaires. On observe également que les pics d’activité, à la baisse comme à la hausse, sont plus courts. Il y a 10 ans , les cycles étaient à trois mois et aujourd’hui on est sur des cycles à une semaine ou 15 jours. Nous sommes donc contraints à une gymnastique permanente dans la gestion des hommes et des machines. Cette situation de non-visibilité engendre de fortes tensions sur les prix : on a à peine le temps d’envisager une hausse sur les prix que la baisse d’activité qui suit tire les prix vers le bas. Dans le transport par plateaux, nous sommes sous l’influence de la conjoncture dans le BTP. Force est de constater que tout est à l’arrêt. On est complètement dans le noir. Les mises en chantier ne semblent pas reprendre, donc on agit ou réagit sur des demandes ponctuelles, qui ne nous permettent pas de nous projeter sur l’avenir. Sur les chaudronneries, l’activité est toujours faible. Sur certaines activités particulières, il y a des volumes meilleurs mais cela reste insuffisant pour nous permettre de bien fonc
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