Faut-il craindre la panne sèche ?

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À peine les grévistes de FO et de la CGT Transports levaient-ils leurs blocages, après les assurances données par le gouvernement sur la majoration des heures supplémentaires, que ceux des raffineries et dépôts pétroliers passaient à l’action. Avec pour résultat, un assèchement progressif mais rapide des sources d’approvisionnement en carburant. Et une semaine épuisante pour les transporteurs routiers.

Mercredi 25 mai. Six raffineries, sur les huit que compte le pays, sont à l’arrêt ou tournent au ralenti, particulièrement celles de Total. Seuls les sites Esso de Fos-sur-Mer (13) et de Notre-Dame-de-Gravenchon (76) continuent de produire, même si leurs expéditions souffrent de graves perturbations. Résultat : environ 20 à 30 % des 2 000 stations d’approvisionnement hexagonales se trouvent en rupture partielle ou totale de carburant, selon diverses sources. Et ce malgré le déblocage de 11 dépôts pétroliers par les forces de l’ordre. En parallèle de ces évacuations, le gouvernement a commencé à puiser dans les réserves stratégiques du pays. L’équivalent de 3 jours de stocks (sur les 115 disponibles) a déjà ét�

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