STEF muscle ses marges mais peine à doper ses ventes. Le volume d’affaires (consolidé) des six premiers mois a, en effet, atteint les 1,359 Md€, en quasi-stagnation (– 0,1 %). La faute à « une consommation (qui) peine à repartir sur les marchés où nous opérons » et « à un prix des carburants qui affecte notre chiffre d’affaires (– 13,3 M€, Ndlr) », indique Jean-Pierre Sancier, le directeur général du groupe. Hors surtaxe énergie, les ventes ont tout de même crû de 3,6 % par rapport à la même période l’an dernier. Une performance qui doit surtout à l’international. En France, les revenus du transport ont été quasi étals, à 584 M€ (585 M€* en 2015). « La météo, les tensions entre la grande distribution et les producteurs, la baisse de la consommation et les conséquences de la grippe aviaire ont constitué un environnement peu favorable. Il en a résulté des tensions concurrentielles fortes », a déclaré Jean-Pierre Sancier. Lequel tient à souligner « des résultats excellen
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