Le SNTL choisit la contre-offensive

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Les professionnels du transport léger et de la course ont revêtu l’habit de combat. Dans le viseur : la concurrence de plateformes collaboratives, au statut juridique aléatoire, et d’opérateurs non inscrits au registre des transporteurs. Ces sujets sensibles ont animé l’assemblée générale du 28 janvier, à Paris.

Studieuse, l’assemblée générale du SNTL, le 28 janvier à Paris, a permis d’égrener les actions initiées pour lutter contre de nouveaux concurrents urbains. Des mutants venus du monde parallèle de l’emploi non salarié, de l’économie « ubérisée », dopés par d’ingénieuses applis informatiques. La centaine d’adhérents a moins débattu qu’écouté la stratégie mise en place par Hervé Street, président du SNTL, et son bureau(1) pour faire valoir les droits des adhérents. « Nous devons défendre notre profession qui, partout en France, est attaquée par les plateformes issues de l’économie collaborative, assène Hervé Street. On nous compare souvent aux taxis, mais c’est une erreur. Les VTC ont comblé un vide créé par le numerus clausus et la pénurie de taxis. Dans le transport léger, il n�

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