Les réponses ambiguës du Premier ministre

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Plusieurs points sur le rôle de l’État dans la nouvelle mouture du congé de fin d’activité restaient à préciser avant le début des négociations. Malgré les engagements de ce dernier, la possibilité de dénonciation de l’accord du CFA n’est pas encore écartée.

Les partenaires sociaux ont reçu le 10 février une réponse du Premier ministre, Bernard Cazeneuve, à leur lettre ouverte du 18 janvier. Ils demandaient des éclaircissements quant à trois questions sur le dispositif qui restaient en suspens et empêchaient l’ouverture de négociations pour son évolution : la taxation du CFA au 1er janvier 2018, la participation financière de l’État et la désignation d’un référent de l’État pour les contours financiers et juridiques.

Le Premier ministre soutient, tout d’abord, que l’Etat « s’engage à ne pas appliquer aux départs en CFA les dispositions de l’article L. 137-10 de la sécurité sociale » relatives aux dispositifs de préretraite. Sous cette disposition, certaines Urssaf avaient, en 2016, assimilé le régime à une « pré-retraite » taxable à 50 % des sommes versées et lancé des procédures de re

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