Du côté de l’Union des fédérations de transport, on crie à l’« abus de droit ». Dans les rangs de l’OTRE, on dénonce « un acharnement stérile ». Par un courrier adressé, le 8 février, à Aline Meplès, la présidente de l’OTRE, le ministère du Travail a ravivé les tensions entre les deux fédérations professionnelles. Que dit ce courrier rédigé par Y. Struillou, directeur général du Travail ? Que, malgré sa perte de représentativité consécutive à un arrêt (en décembre dernier) rendu par la Cour administrative d’appel (L’OT 2859-2860), suite à une procédure engagée par l’UFT, l’OTRE peut retrouver son siège dans les instances de dialogue social. « L’arrêt (de la Cour administrative d’appel de Paris, ndlr) au regard des seules circonstances de fait existant à la date de la décision attaquée, l’autorité de la chose jugée qui s’y attache ne fait pas obstacle à ce que votre organisation puisse particip
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