Le Syndicat national du transport léger d’un côté, Stuart, Colisweb et Deliver.ee de l’autre, avaient rendez-vous, ce mercredi 8 mars, au tribunal de commerce de Paris. D’audience, il n’y eut pas. Le SNTL était venu demander l’autorisation au juge d’accéder à des pièces saisies par huissiers, le 6 janvier dernier, au siège des start-up de la livraison urbaine Stuart, Deliver.ee et Colisweb. Des pièces censées démontrer que les trois acteurs de la logistique urbaine « cassent abusivement les prix et déstabilisent un marché déjà très fragile ». De leur côté, les 3 sociétés avaient réagi en assignant le SNTL sur l’irrecevabilité de sa demande. L’audience a été renvoyée au 29 mars.
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