Après 2016, qui restera comme une très belle année pour nos six activités de transport, la reprise 2017 s’est faite dans des conditions très dures. Est-ce la période préélectorale qui explique cette faiblesse des marchés ? Nous sommes à – 10 % par rapport à l’an dernier. Ce qui peut, bien sûr, se rattraper sur l’année malgré l’irrégularité des volumes qui accusent de plus gros creux que par le passé. La saison du chariot démarre avec les premiers beaux jours. C’est un métier auquel je crois — mon engagement au sein d’Astre Chariot en témoigne — et qui demeure généralement soutenu pendant 9 mois. Je crois aussi à la logistique, que nous pratiquons depuis 10 ans, car les nouveaux modes de consommation vont nécessiter de petits dépôts régionaux de 3 000 à 10 000 m2. Nous avons d’ailleurs acquis en novembre dernier, pour un coût de 4 millions d’euros, une surface de 12 000 m2 dont 6 000 m2 couverts à Avrainville, à proximité de la plateforme de Breuillet (40 000 m2 dont 5 000 couverts) que nous devions désengorger. Nous stockons essentiellement pour le monde des matériaux de TP et du bâtiment, réalisons de la gros
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