Au 30 janvier dernier, 26 entreprises franciliennes ont déposé une demande de mise en activité partielle (chômage technique) prévue par le code du Travail en cas de circonstances exceptionnelles. Huit de ces entreprises font du transport fluvial (du fret pour la moitié d’entre elles) et emploient 216 personnes. Les demandes ont été adressée à la cellule d’urgence mise en place depuis le 26 janvier auprès de la Direccte en Île-de-France, par la Préfecture de région. Créée à l’attention des entreprises situées à proximité de la Seine, de la Marne et de l’Yonne, la cellule aiguille les entreprises concernées par les crues à choisir la démarche la plus adaptée entre l’activité partielle, les dérogations au repos dominical, un étalement du paiement des cotisations, des échéances fiscales voire bancaires pour faire face à des problèmes de trésorerie. Dans le cadre d’une mise en activité partielle, l’employeur reçoit une allocation d’activité partielle cofinancée par l’État et l’Unédic. Le montant total perçu par chaque salarié, en compensation de la perte de salaire due à la suspension de l’activité de l’entreprise, doit
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