« Il faut s’attendre au pire les premiers jours de septembre »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 19.08.2024Par : Nathalie Bureau Du ColombierLecture : 4 min.
La tragédie qui a frappé la ville de Gênes, le 14 août dernier, a eu un impact retentissant sur l’ensemble du système de transport affectant à la fois le réseau autoroutier, maritime et les axes ferroviaires, une partie des faisceaux ayant été détruits lors de l’effondrement d’une portion du pont Morandi. Les transporteurs routiers français redoutent des lendemains difficiles avec des temps de parcours plus longs et un renchérissement des tarifs. Le projet d’une ligne maritime entre la France et l’Italie ressort tel un vieux serpent de mer…
La stupeur laisse progressivement place à de nombreux questionnements chez les transporteurs routiers en particulier auprès des transfrontaliers. Dix jours après l’effondrement d’une portion de près de 200 mètres du viaduc Morandi à Gênes ayant entraîné la mort de 43 personnes et blessé 16 autres, la circulation à l’entrée de la ville suscite de graves inquiétudes notamment chez les transporteurs routiers. Coincée entre la mer et les reliefs montagneux, Gênes et son port souffrent d’un manque d’espace et de l’étroitesse de la bande côtière. Les plateformes logistiques se sont
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