Être actif ou passif dans la transition écologique ?

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Les échanges entre les transporteurs ont confirmé que leur degré d’implication dépend de leur cœur de métier, leur situation géographique ainsi que leurs convictions personnelles.

« On nous rabâche sans cesse qu’il est nécessaire d’acquérir des véhicules propres ! » Le ton était ainsi donné pour démarrer l’atelier Développement durable. Cependant, d’autres avis plus nuancés se sont exprimés. « Nous avons compris très tôt qu’il fallait “verdir” notre parc. Nous avons été parmi les premiers transporteurs à signer la charte CO2 », témoigne un transporteur qui a intégré les enjeux écologiques dans son business. « J’estime que le GNV n’a aucun intérêt sur le plan écologique puisqu’il provient d’énergie fossile. La véritable transition, c’est le bioGNV car il provient de la méthanisation des végétaux », explique un autre de ses confrères, très au fait des solutions techniquement plus avancées. « Nous avons passé un contrat avec Engie pour nous approvisionner en bioGNV. Cela dit, il faut rester vigilant, car certains distributeurs prétendent fournir du bioGNV alors que seule une

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