Au moment où la Commission européenne doit se prononcer sur la révision de la directive détachement (L’OT 2835), la présidence tournante du Conseil de l’UE a échu à la république slovaque, le 1er juillet. « Nous sommes arrivés à un stade où nous devons surmonter la peur. La peur de nos citoyens, la peur de la migration […], la peur du terrorisme […] et la peur de problèmes économiques », mais aussi « des dirigeants politiques selon laquelle nous ne serons pas en mesure de surmonter les crises ce qui conduit à la perte de confiance des citoyens en l’Union et renforce les extrémistes et nationalistes en Europe », a expliqué le Premier ministre slovaque, Robert Fico, au Parlement européen le 6 juillet lors du débat sur les priorités de la présidence slovaque. Paradoxe ou ironie de la présidence semestrielle ? Force est de constater que la Slovaquie est favorable au statu quo en matière de détachement. C�
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