Le remplaçant pose déjà des problèmes importants

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Gênes vient de tourner une page importante de son histoire avec la destruction des deux derniers piliers du pont Morandi, qui s’est effondré le 14 août 2018 en provoquant la mort de 43 personnes et le déplacement de centaines d’habitants logés dans les immeubles situés au pied de la structure.

Selon la feuille de route, les deux derniers piliers ont été démolis vendredi 28 juin avec des explosifs, une méthode que les experts avaient jusqu’à présent tenter d’éviter. La circulation a été interrompue pendant plusieurs heures. Après la destruction de ces deux piliers, la première pierre du nouveau pont, qui devrait être inauguré en janvier 2020, a été posée. Mais de multiples problèmes semblent déjà se poser au niveau de la conception de la nouvelle structure. À commencer par le rayon de courbure du tracé qui ne serait pas conforme aux normes de sécurité actuellement en vigueur selon un rapport du Conseil supérieur des travaux publics. Du coup, des limites de vitesse pourraient être introduites dès l’ouverture du pont à la circulation. Autre problème important : les piliers construits sur le fleuve Polcevera, qui traverse la ville, pourraie

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