Les contrôles vidalies se feraient-ils encore attendre ?

Article réservé aux abonnés

En avril dernier, Alain Vidalies, le secrétaire d’État aux Transports, est monté au créneau pour annoncer un renforcement des contrôles routiers, avec l’objectif de s’attaquer au dumping social exercé par les pays d’Europe de l’Est. Qu’en est-il sur le terrain, notamment depuis l’application, en juillet dernier, de la loi Macron ? Quelle perception les acteurs régionaux en ont-ils ? Effet d’annonce ? Nous avons posé la question aux représentants d’organisations patronales.

Mis sous la pression depuis de longs mois par les organisations patronales du TRM qui lui ont fait remonter l’exaspération des transporteurs français face à la concurrence déloyale exercée par les pavillons d’Europe de l’Est, le secrétaire d’État aux Transports s’est alors engagé sur trois fronts : l’intensification des contrôles sur les lieux de chargement et déchargement (avec des consignes spécifiques données aux préfets et aux services régionaux) ; le renforcement des actions de lutte contre les fraudes au travers, notamment, de la constitution d’une « task force » destinée à renforcer la détection des fraudes au chronotachygraphe 

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

Grand angle

Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15