Tel qu'il est identifié, le transport léger abrite 16 000 entreprises, 50 000 véhicules et 40 000 salariés en France. Représentant un chiffre d'affaires de 4 Md€, il est une composante du TRM. En apparence, la physionomie du transport de demain devrait lui profiter : des lots plus petits, des contraintes de temps de plus en plus strictes, l'accès progressivement contrôlé du transport routier en zone urbaine. Ces réalités laissent croire à des opportunités. Pourtant, les « transporteurs légers » font état de difficultés à générer du chiffre. La fragilité des micro entreprises est-elle en cause ? Ou la solution passe-t-elle par les groupements ?
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