Sous prétexte de sécurité...

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Il en a assez d'être pris pour une « vache à lait » lors des visites techniques, Michel Lemarchand, dirigeant de TLS (14). Et il le clame haut et fort dans un courrier adressé au ministère des Transports.

«Jusqu'où peut-on aller sous prétexte de sécurité ? J'ai présenté au contrôle technique à Demouville (14) une semi-remorque porte container le 1er février qui a été refusée avec demande d'une contre-visite pour le motif suivant : dysfonctionnement du système ABS. Je suis allé chez notre fournisseur pour qu'il commande la pièce et représente la semi à la contre-visite dans les meilleurs délais. Le lendemain, après réparation, la semi est présentée avec un tracteur routier. Et là, surprise : sous prétexte que le tracteur est un Renault, alors que je m'étais présenté la veille avec un Volvo, les inspecteurs ont refusé de le prendre en contre-visite mais, moyennant finances, en nouvelle visite complète, c'est-à-dire avec une différence de coût de 23 €. Ce qui est aberrant puisqu' une semi-remorque est appelée à rouler avec des tracteurs routiers de marque différente.

D'autre part, lors d'une préc�

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