La énième nouvelle directive énoncée récemment par Bruxelles sur la protection des animaux vivants lors des transports de longue durée est entrée en vigueur au 1er janvier (et ce sera au 1er janvier 2009 pour les véhicules d'occasion). Elle ajoute une pression supplémentaire au sein d'une profession dont les effectifs diminuent chaque année. Sa compréhension technique n'a rien de simple mais son impact sur le budget des entreprises est plus facile à cerner. Se disant confrontées à des distorsions de concurrence avec leurs homologues étrangers, les professionnels français du secteur sont en outre exposés à une relative morosité qui sévit chez leurs clients, les abattoirs au premier rang. Regard sur une profession qui s'interroge sur son avenir...
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