Pour 30 %, notre activité est liée au secteur de la papeterie. Nous intervenons sur la totalité de sa chaîne cinématique. Autrement dit, nous chargeons des plaquettes de bois près d'Orléans pour un fabricant de pâte à papier à Tarascon (13). De là, nous montons le produit fini vers deux papetiers de la région grenobloise où nous rechargeons le papier à destination d'imprimeurs. Nous travaillons aussi avec des acieries et le groupe Placoplâtre. Depuis deux ans, nos citernes transportent des hydrocarbes, un mélange de carbonate et d'eau qui blanchit le papier. C'est à cette époque, aussi, que pour des raisons de rentabilité, nous avons réduit de moitié notre parc et commencé à ne plus remplacer les salariés partant en retraite. En contrepartie, notre pourcentage d'affrètement a grimpé à 20 % (dont une petite part via l'échange de fret au sein du groupement FLO). Nous avons renouvelé le parc afin de réduire les consommations et d'alléger l'atelier intégré. Le manque de véhicules nous a permis de passer des hausses de 15 à 16 % auprès de certaines papeteries. Résultat : nous sommes sortis du rouge avec un bénéfice 2006 de 137 000 €. En 2007, le
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