«Il n'y a pas de crise de vocation, mais les personnels de conduite ressentent un manque de reconnaissance au sein de leurs entreprises », s'exclame Alain Peroni, directeur de Jobtransport. C'est en effet ce dont témoigne l'étude « regards sur le métier de conducteur » dévoilée le 12 mars, à l'occasion du salon SITL. Réalisée par la société d'intérim Randstad et le portail Jobtransport, qui ont interrogé 1 400 conducteurs, cette enquête fait apparaître que 74 % des chauffeurs aiment leur métier et sont prêts à le recommander à leurs proches. De plus, 74 à 89 % d'entre eux (selon leur tranche d'âge) ne se plaignent pas de leurs conditions de travail qu'ils reconnaissent pourtant difficiles. Des pourcentages cohérents puisque 46 % des conducteurs disent avoir choisi cette profession pour l'autono
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