Comptes clients sous surveillance

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D'abord utilisé par les entreprises en difficulté, l'affacturage s'est transformé en outil de gestion permettant d'obtenir du cash flow dès que les acteurs « traditionnels » ne suivent plus. Réputée dangereuse, cette avance de trésorerie peut néanmoins s'avérer pertinente à condition de garder un oeil sur son coût réel...

Une trentaine d'acteurs se dispute le marché de l'affacturage en France. Parmi eux, une majorité de filiales des groupes bancaires... Avec à la clé des montants colossaux, le créneau se veut rentable pour ces organismes financiers qui se sont vu confier 100,4 Md € de CA sur les neuf premiers mois de 2008 en hausse de 15,5 % par rapport à la même période l'année précédente grâce à un portefeuille de 27 000 PME et TPE clientes. « L'affacturage est un secteur d'activité dont les taux de croissance progressent chaque année. En 2007, la hausse du CA était de 21,5 % et cette année nous devrions pouvoir tabler sur 15 % », analyse Bernard Muselet, directeur général adjoint en charge du développement sur la France d'Eurofactor (Crédit Agricole).

De manière générale, les entreprises de transport se montren

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