« Je m'attends à une hausse du gazole. Il n'est donc pas question de baisser les prix de transport. Je préfère arrêter un camion plutôt que de descendre au-dessous du prix que nous nous sommes fixés. Je veux rester optimiste. Nos véhicules tournent en régional. Depuis juin, dans notre secteur lié aux travaux publics et chantiers, l'activité est à un bon niveau. On n'en est pas à refuser du travail mais c'est tout de même mieux que cet hiver, au coeur de la crise alimentée par cette psychose et entretenue par les médias... Pour savoir comment va évoluer l'activité, je sonde régulièrement mes clients : Colas, la SCREG, les carrières... Mais ils n'ont pas l'air d'en savoir plus. Nous devons apprendre à gérer le côté imprévisible de l'économie et à s'adapter au jour le jour. L'essentiel est de ne pas baisser les bras ».
Fox-Truking : 6 salariés et 5 véhicules
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