Dans le procès qui oppose Frigo 7 Locatex (35) à Gefco (92), la justice a encore tranché en faveur du transporteur breton. Le 7 octobre, le tribunal de Versailles a confirmé, en appel, le premier jugement rendu le 6 mai par la même cour et a débouté Gefco de sa demande en rectification d’erreur matérielle. La rupture abusive de relation commerciale a donc été reconnue. Résultat : pour avoir appliqué un préavis de six mois (et non de 20 mois), Gefco doit verser 9,39 M€ et plus de 500 000 euros d’intérêts légaux au transporteur. Gefco, qui ne communique publiquement pas sur l’affaire, s’est pourvu en cassation. Mais cette action étant non suspensive, les sommes ont été versées par deux virements à l’entreprise bretonne. Le verdict ne peut laisser de marbre la profession. Pour les don
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