Par échanges de communiqués rageurs, la FNTR et l’OTRE s’empoignent sur le financement du paritarisme, inscrit au menu des discussions paritaires. La première s’indigne de la proposition de sa consœur d’instaurer une « taxe » de 5 € par an et par salarié « pour financer la présence des représentants des organisations syndicales et professionnelles dans les instances et organismes paritaires ». Elle y voit une opération visant à permettre à l’OTRE « d’assurer sa propre survie ». L’organisation présidée par Bernard Lataste crie à la « désinformation ». Estimant « normal qu’un chef d’entreprise n’en soit pas de ses deniers personnels et que le temps qu’il passe pour l’ensemble de la profession lui soit remboursé et ne coûte pas à son entreprise ».
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