Le 10 décembre, le tribunal de commerce de Pontoise a accordé son feu vert au plan de continuation (sur huit ans) de Thierry Pothet. Le président de STRL s’est vu remettre l’ordonnance officielle le 6 janvier. Laquelle met fin à la période d’observation enclenchée après le redressement judiciaire prononcé le 21 septembre 2009. Un accident causé, selon le dirigeant, par le remboursement (précipité) aux banques des autorisations de découvert qui devait courir sur 12 mois. Thierry Pothet assure s’être acquitté dès le début de la procédure de sa dette en direction des sous-traitants (450 k€) : « Cette démarche s’est révélée stratégique car il n’y a pas eu du coup d’alerte sur la Loi Gayssot et donc d’impact sur la confiance de nos clients ». Le dirigeant n’a pas eu à avoir la main trop lourde en terme de réorganisation. Quatre licenciements (avec deux reclassements) ont été prononcés, pour un effectif de 45 salariés aujourd’hui. La flotte (160 cartes grises, dont 50 moteurs et 100 caisses mobiles) a été amputée de six véhicules. STRL annonce avoir signé un partenariat avec la société NRJ en septembre dernier. « Nous av
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