Applaudissements. Par ses annonces, Frédéric Cuvillier s’est taillé un succès honorable, le 15 novembre, à la tribune du 67e congrès de la FNTR à Paris. Une tribune où il était attendu au tournant, six mois après sa nomination en tant que ministre délégué chargé des Transports. Ce succès, il l’a emporté grâce à une faconde qui n’est pas sans rappeler celle de son lointain prédécesseur Jean-Claude Gayssot. Il l’a dû aussi et surtout à une série de confirmations voire de précisions savamment distillées, au cours d’un roboratif discours, sur les principaux sujets qui agitent la profession depuis plusieurs mois.
Au chapitre des dossiers dont il a hérité du précédent gouvernement – et le ministre s’est fait fort d�
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