Alors qu’ils ne représentent que 0,3 % du trafic de l’agglomération grenobloise, les transports de matières dangereuses (TMD) sont pourtant considérés par l’Irma* comme l’un des quatre risques majeurs technologiques qui pèsent sur cette métropole. « Depuis plusieurs années, nous étions interpellés par l’Irma, ou en réunions publiques, sur la sécurité de ce type de transport, explique Lise Torquet, animatrice du Spppy (Secrétariat permanent de prévention des pollutions et risques industriels de l’Y grenoblois, le nom donné à ce territoire qui va du péage de Voreppe, sur l’A48, jusqu’à Vizille au sud, et au péage de Crolles au nord-est). En juin 2011, la commission aménagement du Spppy a donc décidé de lancer une étude visant à évaluer les TMD et recenser les points noirs ». Début novembre, les premiers résultats ont été présentés au groupe de travail TMD, qui livrera l’ensemble de ses conclusions et propositions le 11 décembre à la commission aménagement.
Prem
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