« La fiscalité française lourde et instable crée un contexte compliqué mais cette 17e journée professionnelle vise justement à mieux comprendre les enjeux », a déclaré le 22 novembre à Marcq-en-Baroeul, le président de la délégation régionale TLF, Ghislain Billaudel, à la tête de l’entreprise de transport de matières dangereuses Delcroix (59). Au cœur des débats, évidemment, l’écotaxe PL. Après l’intervention de Patrick Bouchez, président délégué général de TLF, sur les dossiers de la fédération, deux industriels chargeurs et un opérateur ont exposé leur point de vue sur la future taxe poids lourds. « D’un point de vue comptable, nous avons provisionné une certaine somme mais nous ne savons absolument pas comment elle va être utilisée », explique Stéphane Andriolo, responsable logistique commerciale Europe chez Roquette Frères, leader mondial de l’amidon et fournisseurs de produits issus de matières premières végétales. « Une seule chose est sûre, nous exigerons des justificatifs, pour ne pas faire de chèques en blanc ». Même si l’écotaxe est censée réduire le nombre de poids lourds sur les routes, Thomas Latapi
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