Richard Aveline : L’application de ce décret signifie la suppression de toutes les installations auxiliaires. Il abroge les dispositions du code de la route en vertu desquelles les réseaux de contrôle technique étaient les seuls à disposer d’installations dans des garages ou des commerces automobiles, excluant les centres indépendants. Dans une décision du 21 octobre 2011, le Conseil d’État avait jugé ces dispositions illégales. Cependant, les réseaux de contrôle existants peuvent être maintenus sous certains critères (dont le respect de la sécurité routière) et pour une période maximum de 4 ans, soit jusqu’en octobre 2016. Cela engendre une perte d’activité et un manque à gagner certain pour les réparateurs.
R. A. : Après l’Ecot
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